Réseaux de recherche

• Fédération BIOEENVIS

  La fédération de Recherche Biodiversité, Eau, Ville (FR BIOEENVIS) est une fédération de recherche regroupant 17 laboratoires de recherche et opérant dans le champ des sciences de l’environnement (notamment biodiversité, eau et ville).Elle regroupe notamment les préoccupations de durabilité des (socio)écosystèmes et d’écologie de la santé des unités membres.
• GIS Institut des Amériques

  L’Institut des Amériques, groupement d’intérêt scientifique (GIS) créé en 2007 et co-porté aujourd’hui par le CNRS et l’Université Sorbonne nouvelle, fédère en France les études en SHS sur les sociétés des Amériques en développant une approche transaméricaine et transdisciplinaire. Il rayonne au travers de douze pôles internationaux sur le continent américain. Fort d’un réseau de plus d’un millier de chercheur.es et d’enseignant.es en France, il déploie ses activités selon 4 domaines: la Recherche, l’International, la Valorisation de la Recherche et les Partenariats.
• Living lab Antharès

  Le living lab Antharès étudie les Solutions fondées sur la Nature (SfN) appliquées au territoire urbain de la métropole lyonnaise et sa frange rurale et périurbaine.
• Projet SHAPE-Med@Lyon

  En 2022, le projet SHAPE-Med@Lyon (Structuring one Health Approach for Personnalized Medicine in Lyon), a été lauréat du Programme d’Investissement d’Avenir 4 « ExcellencES » de France 2030. SHAPE-Med@Lyon est avant tout une belle réussite collective qui fédère 12 partenaires : les universités Claude Bernard Lyon 1 (UCBL) et Lumière Lyon 2, les Hospices Civils de Lyon (HCL), le Centre Léon Bérard, le Centre hospitalier Le Vinatier, VetAgro Sup, CPE Lyon, avec les organismes nationaux de recherche Inserm, CNRS, INRAE, Inria et le Centre International de Recherche sur le Cancer de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
• Réseau ouest africain anthropologie des épidémies émergentes (RAEE)

  Le réseau RAEE encourage l'analyse en sciences sociales des épidémies et des politiques sanitaires qui sont mises en oeuvre lorsqu'elles émergent. Au-delà de l'intérêt scientifique d'une telle approche, il s'agit également d'un enjeu majeur, aussi bien du point de vue sanitaire, que d'un point de vue social, politique, ou encore économique. Fortement préoccupé de l'interface entre recherche en sciences sociales et santé publique relative aux épidémies, ce réseau s'investit également dans la valorisation, la diffusion des connaissances et la formation aussi bien d'anthropologues que de professionnel.les de la santé.

À ce titre, l’unité collabore avec 21 universités étrangères, que ce soit en Afrique, en Europe, en Asie centrale ou encore dans les Amériques.