Publié le 6 mai 2025
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Mis à jour le 6 mai 2025
le 23 mai 2025
En distanciel (visio / live), En co-modal
de 9h30 à 16h15
8e séance du séminaire "La place de l'enfance dans la guerre : subjectivité et expérience armée" organisé par le LADEC et La Maison d'Izieu
Pour cette dernière séance du séminaire de recherche, l’équipe Maison d’Izieu/LADEC invite les participantes et les participants à Izieu pour retrouver Hélène Dumas, historienne française spécialiste du génocide des Tutsi au Rwanda. Elle sera rejointe par Catherine Lutard et Brigitte Sion pour une table ronde l’après-midi.
Le sort des enfants dans les crimes de masse et sa mémorialisation, qu’il s’agisse d’un contexte de génocide, de guerre ou de persécutions collectives, est un aspect souvent négligé de l’histoire collective. Victimes directes ou indirectes de violences extrêmes, ils portent en eux un héritage de souffrance, de traumatismes, mais aussi de résilience. Cette mémoire a des répercussions sur la construction de leur identité et sur celle des générations suivantes.
La mémoire des crimes de masse est cruciale pour la reconstruction d’une société, la prévention des récidives et la reconnaissance de la souffrance des victimes. Pour les enfants, la transmission de cette mémoire et la reconnaissance de leur vécu sont des étapes essentielles vers la réconciliation.
Le sort des enfants dans les crimes de masse et sa mémorialisation, qu’il s’agisse d’un contexte de génocide, de guerre ou de persécutions collectives, est un aspect souvent négligé de l’histoire collective. Victimes directes ou indirectes de violences extrêmes, ils portent en eux un héritage de souffrance, de traumatismes, mais aussi de résilience. Cette mémoire a des répercussions sur la construction de leur identité et sur celle des générations suivantes.
La mémoire des crimes de masse est cruciale pour la reconstruction d’une société, la prévention des récidives et la reconnaissance de la souffrance des victimes. Pour les enfants, la transmission de cette mémoire et la reconnaissance de leur vécu sont des étapes essentielles vers la réconciliation.
Au programme
9h30-10h | Accueil café |
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10h-11h30 | Intervention de Hélène Dumas : « Rupture et saccage de la filiation : enquête au cœur du génocide des Tutsis au Rwanda » |
11h30-13h | Visite du musée mémorial d’Izieu |
13h-14h | Pause déjeuner et temps libre dans l’espace muséal |
14h15-16h15 | Table ronde « Les enjeux du travail de mémoire des crimes de masse : la place de l’enfance » ♦ Hélène Dumas, historienne française spécialiste du génocide des Tutsi au Rwanda, chargée de recherche au CNRS et membre du Centre d’études sociologiques et politiques Raymond Aron ; ♦ Catherine Lutard, sociologue, chercheuse associée à la Maison Interuniversitaire des Sciences de l’Homme de Strasbourg. Spécialiste des tribunaux nationaux en charge des procès relatifs aux guerres des années 1990 en ex-Yougoslavie ; ♦ Brigitte Sion, experte internationale dans le domaine des musées, des mémoriaux et du patrimoine matériel mais aussi présidente du conseil scientifique de la Maison d’Izieu et membre de son conseil d’administration Avec la participation de : ♦ Dejan Dimitrijevic, maître de conférence à l’Université Lumière Lyon 2 / LADEC ; ♦ Tiphaine Duriez, maîtresse de conférence à l’Université Lumière Lyon 2 / LADEC, directrice du laboratoire du LADEC à Lyon ; ♦ Alexandre Nugues Bourchat, directeur de la Maison d’Izieu. |
Modalités de participation
>> Vous pouvez dans le même temps réserver votre place dans une navette-bus mise en place au départ de Lyon. Départ 8h15 (rue de Marseille à Lyon) – Retour aux alentours de 18h15/30 au même point. |
Si vous souhaitez le suivre, il vous suffit d’en faire la demande via la page d’inscription. |
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Informations pratiques
Lieu(x)
En distanciel (visio / live), En co-modal
En présentiel à Izieu ou en webinaire
Contact
Tiphaine Duriez, maîtresse de conférences en anthropologie, directrice du LADEC :
tiphaine.duriez@univ-lyon2.fr