Mise à jour le 17 oct. 2025
Salomé Deboos
Publié le 16 octobre 2025 – Mis à jour le 17 octobre 2025
Cet acquis, cette formation, loin d’être simplement une somme de science savante, est, dans mon parcours d’anthropologue, constituée d’expériences de vie tels qu’au Mali et en Egypte ou encore au sein de l’administration française en tant que travailleur social (assistante social de secteur et dans la police nationale, ou travailleur social en centre de rétention administratif), enfin d’expériences de terrain au Burkina Faso ou en Inde ; cette formation est donc à la fois le fruit d’apprentissages formels universitaires et d’apprentissages informels au grès de centres d’intérêts variés.
Ce qui anime ma recherche est la capacité à se positionner, nous les humains, en tant qu’Individu (Dumont, 1983 :304) et/ ou Personne (Descombes, 2013 :101). Ces positionnements peuvent oscillés de l’un à l’autre au cours d’une vie, ce qui nous amène à envisager la problématique elle-même programmatique de ma recherche : Comment l’étant se positionne-t-il dans un groupe comme existant au titre de personne ou / et d’individu ? En quoi cet auto-positionnement amène-t-il une tension dans la manière que le sujet a de se vivre identitairement ?
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Ce qui anime ma recherche est la capacité à se positionner, nous les humains, en tant qu’Individu (Dumont, 1983 :304) et/ ou Personne (Descombes, 2013 :101). Ces positionnements peuvent oscillés de l’un à l’autre au cours d’une vie, ce qui nous amène à envisager la problématique elle-même programmatique de ma recherche : Comment l’étant se positionne-t-il dans un groupe comme existant au titre de personne ou / et d’individu ? En quoi cet auto-positionnement amène-t-il une tension dans la manière que le sujet a de se vivre identitairement ?
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